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Les meilleures infographies du cinéma

10/08/2010 Comments off

Comprendre Inception

Depuis 2 ans maintenant, la mode sur Internet est à la grande infographie explicitant clairement un sujet précis. L’infographie se présente généralement tout en hauteur, avec des illustrations simples, attractives et particulièrement parlantes ce qui généralement lui permet de faire le buzz. J’en prends pour preuve une adaptation personnelle en français de cette infographie dédiée à la grippe H1N1 au temps où on en parlait encore.

Le cinéma n’est pas ignoré par les rois de l’infographie bien au contraire. Et, geeks obligent, Star Wars est bien entendu le mieux représenté. Je vous présente ici un petit florilège d’infographies en anglais mais aisément compréhensible en français si tant est qu’on a vu le ou les films incriminés. On peut extraire plusieurs catégories d’infographies dédiées au 7ème art :

  • Les Indicateurs de Trilogie qui compare la qualité (souvent en reprenant les scores sur le site rottentomatoes.com) des différents opus d’une trilogie.
  • Les Random Facts qui collectent un ensemble d’anecdotes sur un film ou un catégorie de films.
  • Les Comparateurs de Taille qui vise à comparer la tailles de différents personnages (voire monstres) de différents films d’un même genre.
  • Les Ligne de Temps particulièrement parlantes pour les films traitant des voyages dans le temps.

Pour les fans, le site InformationIsBeautiful.net est une véritable mine d’or. Les images après le saut !

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Evolution du prix de la place de cinéma en France ces 50 dernières années

05/08/2010 un commentaire

L'industrie du cinéma se porte bien malgré le piratage en hausse

Le cinéma, en France et dans le monde, ne s’est jamais aussi bien porté que ces dernières années. Les gouvernements et producteurs ont beau blâmer le piratage en ligne et les téléchargements illicites qui, soit disant, mettent en danger l’industrie cinématographique, le chiffre d’affaires de cette dernière, lui, a explosé. En 2009, les salles françaises connaissent leur plus forte fréquentation depuis 27 ans. D’ailleurs je vous invite à lire ce bel article sur ReadWriteWeb.fr qui décrypte les effets du piratage de films sur l’industrie et notre société.

En tout cas, l’industrie du cinéma n’a jamais généré autant d’argent et n’en a jamais autant dépensé pour ses mega productions hollywoodiennes. Le cinéphile a l’embarras du choix entre les blockbusters truffés d’effets spéciaux et les films d’animation. D’ailleurs, le phénomène « tout film d’animation doit sortir en 3D » commence sévèrement à me gaver. Cette mode ne veut pas passer. En de très rares cas, la 3D n’apporte rien. Si seulement, ils faisaient des films qui exploitent réellement à fond cette technologie. Mais ce sera sûrement le sujet d’un autre billet.

Revenons à notre cinéphile. Par définition, un cinéphile aime le cinéma. Et quand on aime, on ne compte pas. Et bien il fait bien de ne pas compter ce qu’il dépense ce petit féru de toile. Aujourd’hui, si on n’a pas de carte d’abonnement, un CE qui vous fait de bonnes réductions ou si vous ne venez pas aux séances à tarif préférentiel, on se retrouve à payer (tenez-vous bien) 10,10€ pour une place normale ! Et je ne compte pas là l’ajout des 2€ pour la location des lunettes 3D, le cas échéant.

Regardons un peu derrière nous. Reprenons mon ancien billet et mettons-le jour comme suit. Cela nous donne le graphique suivant décrivant l’évolution du prix de la place de cinéma en France durant les 50 dernières années. Un beau panorama assez édifiant.

Les données issues du site officiel senat.fr agrémentés des prix constatés en 2000 et aujourd’hui, en 2010 :

  • 1960 : 1,86
  • 1970 : 4,78
  • 1980 : 16,13
  • 1990 : 31,40
  • 2000 : 61,00 (9,30€)
  • 2010 : 66,25 (10,10€)

Alors, OK. Les complexes cinéma type UGC Ciné Cité sont de plus en plus grands et bien fournis. Mais faut voir à combien ils vous vendent la boite de Pop-Corn et le Coca-Cola à l’intérieur. Bref, le cinéma est un luxe populaire que les français adorent et ces pauvres bougres se saignent pour en profiter. Dans ces conditions, il peut paraitre compréhensible (et répréhensible… on a compris) qu’un couple avec 2 enfants préfère regarder chez eux la dernière comédie pourrie en la téléchargeant. En effet, bon nombre de films ne valent certainement pas les 50€ que notre petite famille payerait si elle se déplaçait dans leur cinéma le plus proche.

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Le dernier espoir

03/08/2010 Comments off

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L’Oeuf

02/08/2010 Comments off

Au détour de mes flux RSS, je suis tombé sur un très bon texte original à souhait qui m’a rappelé les Thanatonautes de Werber, un bouquin qui m’avais bien plu à l’époque. Ce texte n’est pas très long et vous devriez prendre 10 minutes pour le lire. La page d’origine est en anglais et je suis donc l’auteur de l’adaptation française qui suit. Si ce texte vous a plus, n’hésitez pas à le partager. Moi, il m’a plu, alors c’est ce que je fais avec vous.

L’Oeuf

De Andy Weir, Adapté de l’anglais par Nicolas Demange.

Tu rentrais chez toi lorsque tu mourus.

C’était un accident de voiture. Pas des plus impressionnants mais néanmoins fatal. Tu laissais derrière toi une femme et deux enfants. Ce fut une mort non douloureuse. Les urgentistes firent leur possible pour te sauver mais en vain. Ton corps était tellement en charpie que tu fis bien de ne pas y rester, crois-moi.

Et c’est à ce moment-là que tu me rencontras.

« Quoi ?… Que s’est-il passé ? », tu demandas, « Où suis-je ? »

« Tu es mort », répondis-je d’une façon très détachée et sans prendre de détours.

« Il y avait un… un camion et il s’est mis à déraper… »

« Ouaip », dis-je.

« Je… Je suis mort ? »

« Ouaip. Mais ne t’en fais pas, tout le monde meurt. », dis-je.

Tu as regardé autour de toi. Il n’y avait rien que le néant. Juste toi et moi. Tu demandas « Où sommes-nous ? Dans l’après-vie ? »

« Plus ou moins », dis-je.

« Tu es Dieu ? »

« Ouaip, »  répondis-je, « Je suis Dieu. »

« Mes enfants… ma femme », tu dis.

« Que leur veux-tu ? »

« Ils vont s’en sortir ? »

« Voilà ce que j’aime,  » dis-je. « Tu viens de mourir et ce qui te préoccupe le plus, c’est ta famille. C’est vraiment bien tout ça. »

Tu me regardas avec fascination. A tes yeux, je n’avais rien d’un Dieu. Je ressemblais à n’importe quel homme. Ou même à une femme. Peut-être une vague image d’autorité. Plus comme un professeur de français  que comme le tout puissant, en tout cas.

« Ne t’en fais pas,  » repris-je. « Ils vont très bien s’en sortir. Tes enfants se souviendront de toi comme d’un homme parfait en tout point. Ils n’ont pas eu le temps de développer un quelconque mépris envers toi. Ta femme pleurera extérieurement, mais se sentira secrètement soulagée. Pour être franc, ton mariage s’effondrait. Si ça peut te consoler, elle se sentira coupable de se sentir soulagée.

« Oh,  » tu dis. « Et que va-t-il se passer à présent ? Je vais au paradis ou en enfer ou un truc dans ce genre ? »

« Ni l’un ni l’autre » dis-je. « Tu vas être réincarné. »

« Ah,  » tu dis. « Donc les Hindouistes avaient raison. »

« Toutes les religions ont raison à leur manière. » répondis-je. « Marche avec moi. »

Tu me suivis tandis que nous arpentions le vide. « Où va-t-on ? »

« Nulle part en particulier », dis-je « C’est juste sympa de marcher en parlant. »

« A quoi bon, alors ? » tu repris. « A ma renaissance, mon ardoise sera simplement effacée, c’est ça ? Un bébé. Donc toutes mes expériences et tout ce que j’ai vécu dans cette vie n’aura aucune importance. »

« Pas du tout ! » dis-je. « Tu gardes en toi toutes les expériences et les connaissances de tes vies passées. Tu ne t’en souviens simplement pas pour le moment. »

Je m’arrêtai de marcher et te pris par les épaules. « Ton âme est plus magnifique, plus belle et plus gigantesque que tu ne peux l’imaginer. Un esprit humain ne peut contenir qu’une minuscule fraction de ce que tu es. C’est comme plonger un doigt dans un verre d’eau pour voir si elle est chaude ou froide. Tu ne mets qu’une infime partie de toi dans ton vaisseau et quand tu le ramènes, tu t’enrichis de toutes les expériences vécues. »

« Tu étais dans un humain les 48 dernières années. Donc tu n’as pas encore eu le temps de te détendre et de sentir le reste de ton immense conscience. Si on demeure ici assez longtemps, tu commenceras à te souvenir de tout. Mais il n’y a aucun intérêt à faire cela entre chaque vie. »

« Combien de fois ai-je été réincarné, alors ? »

« Oh, plein de fois. Vraiment beaucoup de fois. Et en une multitude de vies différentes. » dis-je. « Dans ta vie à venir, tu vas être une jeune paysanne chinoise en 540 avant JC. »

« Attendez… Quoi ? » tu bégayas. « Vous me renvoyez dans le passé ? »

« Eh bien, techniquement, oui. Le temps, comme tu le connais, n’existe que dans ton univers. Les choses sont différentes là d’où je viens. »

« D’où viens-tu ? » tu demandas.

« Bien sûr. » expliquai-je. « Je viens d’autre part. De quelque part d’autre. Et il y en a plein d’autres comme moi. Je sais que tu aimerais savoir comment ça se passe ici, mais honnêtement, tu ne comprendrais pas. »

« Oh », tu dis, un peu abattu. « Mais attendez un peu. Si je suis réincarné dans un autre point du temps, j’ai pu interagir avec moi-même à des moments. »

« Bien sûr. Cela arrive tout le temps. Et comme chaque vie n’est consciente que de sa ligne temporelle, tu ne t’en rends même pas compte quand cela arrive. »

« Alors, quel est l’intérêt de tout ça ? »

« Sérieusement ? » demandai-je. « Tu me demandes sérieusement quel est le sens de la vie ? Ca fait pas un peu stéréotype ? »

« C’est une question raisonnable. » tu insistas.

Je te regardai dans les yeux. « Le sens de la vie, la raison pour laquelle j’ai créé tout cet univers : c’est pour que tu mûrisses. »

« Vous voulez dire l’humanité ? Vous désirez que nous mûrissions. »

« Non. Juste toi. J’ai créé cet univers entier rien que pour toi. A chaque nouvelle vie, tu grandis et mûris et deviens un plus grand et un meilleur esprit.  »

« Que pour moi ? Et tous les autres ? »

« Il n’y a pas d’autres. » dis-je, « Dans cet univers, il n’y a que toi et moi. »

Tu me fixas d’un air ébahi. « Mais tous les gens sur Terre… »

« Ils sont tous toi. Différentes incarnations de toi. »

« Attendez. Je suis tout le monde ! »

« Tu commences à comprendre, maintenant. » te dis-je en te donnant une tape dans le dos.

« Je suis tout être humain qui a jamais vécu ? »

« Et ne vivra jamais, oui. »

« Je suis Abraham Lincoln ? »

« Et tu es aussi John Wilkes Booth,  » ajoutai-je.

« Je suis Hitler ? » tu t’exclamas, horrifié.

« Et tu es les millions de gens qu’il a tués. »

« Je suis Jésus ? »

« Et tu es tous ceux qu’ils l’ont suivi. »

Tu tombas silencieusement.

« Chaque fois que tu persécutais quelqu’un,  » dis-je, « c’est toi-même que tu persécutais. Chaque acte de bonté que tu as réalisé, c’est à toi que tu l’as fait. Chaque moment heureux ou malheureux vécu par un homme a été, ou sera, vécu par toi. »

Tu réfléchis un long moment.

« Pourquoi ? », me demandas-tu, « Pourquoi faire tout cela ? »

« Parce qu’un jour, tu deviendras comme moi. Car c’est ce que tu es. Tu es l’un des miens. Tu es mon enfant. »

« Wow,  » tu dis, « Tu veux dire que je suis un Dieu ? »

« Non. Pas encore. Tu n’es qu’un fœtus. Tu grandis encore. Quand tu auras vécu toutes les vies humaines à travers le temps, tu auras grandi assez pour naitre. »

« Donc, l’univers entier », tu dis, « n’est rien que… »

« Un œuf. « , répondis-je, « Il est maintenant temps que tu partes pour ta nouvelle vie. »

Et je t’envoyai sur ton chemin.

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Le retour de Julian Beever sur nos trottoirs

30/07/2010 Comments off

Si vous croyiez que le roi des peintures anamorphiques sur les trottoirs du monde entier était à la retraite, c’était bien mal connaitre Julian Beever. Rappelez-vous. Dans ce billet, je vous présentais les réalisations les plus époustouflantes du maitre en la matière (Bon il y a aussi Kurt Werner, Eduardo Relero, Edgar Müller et Gregor Wosik qui s’en tirent pas mal). Et bien, Julian revient pour notre plus grand plaisir. Je livre à vos rétines impatientes ses toutes dernières oeuvres de rue à la fin de ce billet.

Pour rappel, les illusions anamorphiques sont des images dessinées avec une distorsion spéciale visant à créer une impression de 3 dimensions lorsqu’on regarde l’oeuvre finie d’un certain point de vue.

Voici deux œuvres magnifiques d’abord du point de vue idéal pour l’illusion, puis d’une autre point de vue pour se rendre compte de la déformation du dessin. (Cliquez pour agrandir)

Point de vue de l'illusion

Autre point de vue

Point de vue de l'illusion

Autre point de vue


Allez, pour votre plus grand plaisir, je vous mets maintenant les toutes dernières réalisations de Beever. Aucun doute, le bonhomme est toujours en forme et n’a pas perdu la main ! Je vous rappelle aussi que j’ai une galerie d’images dédiée au travail de Julian Beever sur ce site.

8 excellents stickers 3D trompe-l’oeil pour vos portes

29/07/2010 Comments off

« Mais c’est quoi cet escalator chez toi, mec ?! ET CES MARCHES ?!!! Elles mènent où ?

– Mais non. C’est des stickers collés sur mes portes. La classe, non ? Eh, mais… Arrête ! Non. Tu peux pas… C’est pas des vrais…. »

*PAF* »

Voilà ce qui peut arriver si vous vous laissez tenter par ses stickers trompe-l’oeil 3D à coller sur les portes de votre appartement. Une idée lumineuse et personnalisable. En effet, ils sont ajustables à vos propres dimensions et ont une finition satinée qui ne manquera pas d’attirer l’attention de vos visiteurs sur votre déco intérieure plus que douteuse jusqu’ici. Tout cela est disponible chez CoutureDeco.com pour $279 pièce. Merci Valérie Damidot ! (Cliquez sur les miniatures ci-dessous pour agrandir)

via – Crédit photos: couturedeco.com

Maquette de San Francisco, 1 million d’allumettes et quelques balles de ping-pong

17/06/2010 Comments off

François Pignon peut aller se rhabiller avec ses petites maquettes faites à base d’allumettes. On a trouvé un bon gros winner pour vos dîners un peu spéciaux du mercredi soir. Il s’appelle Scott Weaver et, tenez-vous bien, le monsieur a mis 34 ans pour construire sa maquette de la ville de San Francisco en utilisant plus d’un million d’allumettes. Il s’est même payé le luxe de prévoir un circuit pour balles de ping-pongs avec les rues de son San Francisco miniature. La grande classe !

Donc c'est pas la petite maquette de débutant comme on peut le voir.

Selon le point de vue, vous pouvez voir des vues de la ville et les monuments reconnaissables.

L'attachement au détail force le respect.

Les balles de ping-pongs se baladant dans les rues de San Francisco miniature : EPIC WIN!

Et pour finir, une petite vidéo qui permet de voir les balles de ping-pongs se baladant au sein de la structure.

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Vagues à l’âme

15/06/2010 Comments off

Un parallèle intéressant est venu à moi ce matin en compulsant mes flux RSS matinaux. En effet, deux articles fortement liés se sont fortuitement suivis dans mon Google Reader.

Le premier article est un billet présentant le travail magnifique du photographe Clark Little, spécialisé dans la prise de photo de vagues géantes que seuls les surfeurs les plus avertis oseraient affronter. L’article est évidemment agrémenté de plusieurs photographies du bonhomme toutes plus somptueuses les unes que les autres. En voici un petit florilège tiré du site officiel de l’artiste. Personnellement, je trouve ses photos sensationnelles. Cliquez pour les voir en grand.

Magnifique, hein ? Bon. Encore sous le charme, je continue à parcourir mes flux RSS et passe à l’article suivant. Et là… C’est le drame. Voilà sur quoi je tombe :

La nouvelle vague de BP sur les côtes de l’Alabama

Les vagues made in BP atteignent les côtes de l'Alabama

Si c’est pas triste 🙁

Des agrafes, des punaises et du gros scotch au service de l’art

11/06/2010 Comments off

Je vous présente aujourd’hui 3 artistes qui ont l’art et la manière de détourner des matériaux de la vie de tous les jours pour en faire le vecteur de leur créativité.

Commençons par Baptiste Debombourg qui a utilisé 35000 agrafes pour réaliser ses Air Force One et Air Force Two inspiré du Mythe d’Icare. A raison de 75 heures de travail, l’artiste français réussit une belle prouesse visuelle de 2,7m sur 2,5m avec cette technique qu’il a baptisé « Agravure ». Jugez plutôt.

Vient ensuite Eric Daigh qui lui a préféré utiliser des punaises de couleurs pour faire une vingtaine de portraits. Je trouve ça beaucoup moins impressionnant techniquement quand on sait ce que peut faire un ordinateur pour transformer une image en une série de points et donc donner exactement la série de punaises à mettre. Mais tout de même, la réalisation et l’idée valent le coup d’être vues. Alors, place aux photos.

Enfin, finissons par une idée technique folle admirablement exécutée. Celle de Mark Khaisman, qui lui a utilisé du scotch de déménageur pour réaliser ses tableaux sur plexiglas rétro-éclairé. Un magnifique travaille de détournement de matériau et de la lumière pour un effet des plus impressionnant.

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30 logos qui parlent d’eux-mêmes

04/06/2010 Comments off

Dans mon passé, j’avais un petit passe-temps-gagne-pain comme designer de logo. C’était une activité sympa qui me permettait d’exercer et de mettre à l’épreuve ma créativité afin de trouver le visuel parfait pour le produit ou l’association représentée. Ce n’est pas toujours facile de jouer sur la typographie, les lettres, les représentations, les couleurs mais certains parviennent à atteindre un niveau où le logo parle de lui-même, où l’idée du logo s’intègre quasi naturellement à sa représentation.

Voici 30 exemples de logo parlant d’eux-mêmes qui vous inspireront au plus haut point si, comme moi, vous êtes déjà passés par le défi de créer des logos fidèles.

Diamond Bookstore by Malik Joanna (Librairie de Diamand)

Killed Productions by ethereal (Tué)

Lochness by Navy Blue Design (Comme le lac)

DODO by Dalibor Novák (Restaurant de grillades)

Evolution X by Felipe Rojas

Code Fish by Mabu (Poisson de Code)

Animal Rescue Sofia by Milena (Secours Animalier)

Peeled by uneekGrafix (Epluché, décollé)

83 Studios by uneekGrafix

HELIUM

TALKMORE by NIDO (Parler plus)

Pause by volkan ek?i

Bob’s House For Dogs (Maison pour Chien)

Six Pixels of Separation

subber by !mude (Submarine = sous-marin)

fly v2 by HitByReindeer (Mouche)

labrat by Mikeymike (Rat de laboratoire)

Totem Media

Cloud Corner (Coin de Nuage)

GoMusic by uneekGrafix

Seven Sparrows (Sept Moineaux)

Coffee Cup (Tasse à café)

Get Wired (Se lier, communiquer)

MonKey (Monkey=singe, Key=clef)

Denshu Sushi by tomhuveners

Broken Goggles (Lunettes Cassées)

African Film Club

Oil (Huile)

Page Fold (Page Tournée)

Swing Studios (Studios de la Balançoire)

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