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Je reviens de l’avant-première d’Indiana Jones au Grand Rex à Paris.

Une longue attente, une effervescence palpable à l’entrée dans la salle gigantesque et vertigineuse, un bon moment lorsqu’un fan mélomane, armé de sa trompette, entonne les notes de la chanson du film sous les applaudissements et les hourras de la salle. Mais… tout ça pour finir sur une énorme déception après 2 heures de films. Les fans d’Indy vont se prendre une claque monumentale. Cruelle désillusion pour un retour manqué. Je préfère oublier cet opus et le vide scénaristique qui le caractérise désormais. Faisons comme s’il n’existait pas. Ainsi, Indiana Jones restera à jamais une trilogie d’exception.