A l’occasion des 75 ans de l’enseigne de librairies anglaises Penguin, le designerAmy Fleisher a inventé ses 4 posters mettant en scène des personnages célèbres de la littérature internationale… avec des pingouins. J’ai trouvé ça marrant alors je vous fait profiter. Et non ce n’est pas une pub pour Linux, bande de geeks.
Il y a des vendredis qu’on aimerait voir passer très vite. Certains qu’on aimerait même pouvoir sauter et être en weekend dès le jeudi soir. Mais pas aujourd’hui. Pourquoi ? Parce que je viens de tomber sur un mème… tout bonnement génial.
Tout part de cette vidéo envoyée sur Youtube :
Rigolo, un chien qui semble parler. Drôle, quoi. Bon. Vient ensuite un loltoshop assez marrant inspiré de la vidéo :
Je me dis « Marrant ». L’auteur a voulu faire passer le chien pour un quelconque politicien aux US qui aurait fait un buzz dernièrement sur un référendum. Et en fait, pas du tout !!! Il s’agit en fait de la dernière phrase de la transcription automatique par google sur Youtube.
Transcrire la piste audio à la volée sur Youtube
Je vous explique. Google a introduit la possibilité de transcrire à la volée les bandes sonores des vidéos Youtube. Elle est accessible via le bouton ci-contre. En gros, le moteur de reconnaissance de texte est lancé sur la bande son de la vidéo et tente de reconnaître des mots anglais. Ils y ajoutent une analyse sémantique et syntaxique qui en fonction d’un mot reconnu plus qu’un autre va modifier les autres selon sa nature (j’ai reconnu un verbe, le mot d’avant sera probablement un sujet ou un adverbe etc.).
Bref. Cette technique est utilisée par exemple par Google pour son système Google Speech qui entre autre sait envoyer par email un message laissé sur votre répondeur. Ça marche pas trop mal avec des humains parlant et articulant bien leur anglais. Mais alors qu’est-ce que ça donnerait sur notre vidéo du chien qui « aboit-bwa-bwa-bwa » ?
Voici la transcription complète :
and what would what would but we well in the lead with him in a minute but what happens when let me I said well then we’re going live with it wouldn’t have mattered ranch the ad opens with a dwindling but go ahead with the referendum.
Vous l’aurez compris : ça ne veut rien dire… sauf l’ultime phrase qui va désormais rentrer dans la culture Internet moderne, j’en suis sûr. Pour le plaisir je vous mets la traduction automatique en français via Google Translate pour couronner le mème et on y est :
et ce qui ce serait bien, mais nous en tête avec lui dans une minute, mais ce qui arrive quand me laisser Je me suis dit alors que nous allons vivre avec cela n’aurait rien changé ranch de cette annonce s’ouvre sur une diminution, mais aller de l’avant avec le référendum.
Pour le plaisir j’ai un peu adapté pour le français en « Mais allez-y avec le référendum ».
La technologie Google au service de l’humour et du buzz. C’est beau !
Edit: pour activer la transcription directement sur la vidéo ci-dessus, faites comme suit :
Activer la transcription audio pour une vidéo Youtube intégrée à un blog.
Le buzz grossissait depuis quelques jours sur la toile qu’un nouveau projet secret de film de science-fiction de J.J. Abrams va voir le jour. On connait son amour pour le secret et les mystères et on ne savait pas grand chose si ce n’est qu’il s’agissait d’un film et qu’il s’appellerait Super 8.
A la lecture du pitch présumé :
Dans les années 70-80, un groupe de jeunes tourne un film à l’aide d’une caméra Super 8, avant de se rendre compte, en développant la pellicule, qu’il y a un extra-terrestre sur l’image.
Ces deux-là mijotent un mauvais coup, ça se voit !
Les fans commençaient à imaginer des liens entre ce nouveau projet et la fin de Cloverfield, l’un des derniers block-busters du nouveau maître du cinéma sci-fi américain. Mais si, rappelez-vous. On voyait un objet non identifié tomber dans l’eau sur le petit film amateur pris sur la grande roue. Les fans adeptes des théories inventées de toutes pièces pensaient que cet objet avait réveillé un monstre qui dormait depuis des millénaires sous l’eau ou au contraire voyaient ici l’arrivée sur Terre d’un monstre extra-terrestre.
Pendant ce temps-là, le projet avançait et un teaser était annoncé. Ce dernier devait être diffusé juste avant les projections du film Iron Man 2 aux États-Unis sorti récemment dans les salles. Et bien c’est le cas ! Le projet existe bel et bien et on est très heureux de confirmer le fait que le film est produit par messieurs Spielberg et Abrams et que ce dernier en signe de surcroit l’écriture et la réalisation.
Tout de suite je vous propose de retrouver le teaser pirate diffusé dans les salles américaines :
En 1979, L’US Air Force ferma une section de la zone 51. Tous ce qu’elle comprenait devait être transporté dans une zone sécurisée dans l’Ohio
Méfions-nous de J.J. Abrams qui aime bien brouiller les pistes. Je vous invite d’ailleurs à écouter son génial discours sur la Mystery Box. Vous comprendrez un peu mieux le bonhomme. Bref, ne prenons pas tout ce qu’on voit pour argent comptant. On sait pour le moment que Super 8 n’a finalement rien à voir avec Cloverfield, a été tourné de manière traditionnelle avec un budget de 50 millions de dollars, qu’il est bien produit par Spielberg et Abrams (un passage de témoin en quelque sorte) et qu’un doute plane sur le teaser ci-dessus qui a été tourné indépendamment du film en lui-même, entendez que ce ne sont pas des images du film.
En tout cas, le teaser nous confirme que la sortie de Super 8 est prévue pour cet été aux États-Unis. Vivement qu’il arrive en France !
Le clapotis de la pluie sur le pavé ne vous suffit plus. Vous voulez ajouter votre part à la cacophonie liquide qui s’abat sur vous. Alors vous souriez. Car vous avez pensé à emporter avec vous… votre parapluie-batterie !
Le Rain Drum vous donnera le rythme lorsque vous chanterez sous la pluie.
Le parapluie-batterie (ou Rain Drum) a été récemment designé par le sud-coréens Dong Ming Park afin de casser « l’ennui sonore de la pluie ». Bon personnellement, le bruit de la pluie est l’un des sons que je préfère dans ce bas monde, mais bon. Vous savez ce qu’on dit : l’égout et les couleuvres, ça ne se discute pas. Donc, ce parapluie high-tech est constitué de 5 surfaces sensibles à la chute des gouttes d’eau et qui vont produire les sons d’une batterie classique en fonction du tom touché. Poum Tchac Tssshhh
Oh, quelle est heureuse avec son parapluie ! Les hommes se retournent enfin sur elle dans la rue... mouillée.
Bon évidemment, ça risque pas d’être en rythme mais ce sera toujours du bruit en plus ! \o/ Le Rain Drum accompagnera à merveille vos t-shirt batterie et guitare.
Une couche de 10cm d’eau recouvrant un plateau de verre sépare le eau haut du bas de la piscine. Un plateau de verre qui en plus de devoir supporter son propre poids doit être assez costaud pour supporter plus d’une tonne d’eau ! Du coup, l’intérieur de la piscine devient habitable. Mais l’effet le plus impressionnant est la vision du dessus lorsque des gens sont dans/sous la piscine.
Excellent non ?
Vu du dessous, la piscine est en fait une pièce avec un plafond d'eau
Vue du dessus, l'illusion est parfaite et l'effet est saisissant !
Avant de vous livrez ma pensée, je vous mets tout de suite cette photo de la NASA, prise du sol de Mars par le petit robot caméra nommé « Mars Exploration Rover Spirit » qui se balade à la surface de la planète rouge depuis un bout de temps maintenant. C’est en fait une combinaison mosaïque de plusieurs photographies dont le contraste a été augmenté par deux pour pouvoir bien distinguer… la Terre ! Oui !!! La Terre vue du sol de Mars.
Cliquez sur "La Terre vue du sol de Mars, NASA" pour la voir en grand
Bon ça y est. Vous l’avez vue. Si vous êtes comme moi, vous avez dû scotcher dessus pendant un bon moment. La photo a été envoyée le 26 avril 2010 par la Nasa sur son Flickr officiel (que je vous recommande si vous voulez des clichés incroyables régulièrement) mais la photo date elle-même du 8 mars 2004.
Je trouve cela personnellement incroyable. Tellement beau sur tant de dimensions. Technologique, bien sûr. Une technologie qu’à créée l’homme en quelques centaines d’années pour permettre une exploration aussi périlleuse et unique que la conquête spatiale. Une autre dimension est cette idée de publier cette simple photographie qui va parler à tout un chacun pour ramener à notre niveau la compréhension de l’ampleur de la tâche accomplie pour en arriver là. Vous vous rendez compte ? On prend des photos du sol d’une autre planète. Bien sûr Hubble nous envoie depuis des années des images toutes plus incroyables les unes que les autres mais ces dernières ont toujours été des clichés de nébuleuses, de galaxies, de planète entière. Bref, des visualisations à une échelle autrement plus grande et inimaginable que l’échelle humaine.
La photo que je vous présente-là est belle en ce sens qu’elle ramène à l’échelle humaine voire terrestre (euh… martienne ?) une vision dont l’échelle ne nous parlait pas vraiment jusqu’ici. On y est ! On visualise ! On imagine ! On rêve !
Que c’est beau ! Rêvez avec moi les amis. Notre époque est formidable.
Popularisée par la chanson Cabrelisante de Laurent Gerra, la cabane au fond du jardin à souvent été réduite à un simple débarras pour outils de jardin, à de simples toilettes où il n’y a jamais de papier, à une remise stockant le bois qu’on a la flemme d’aller chercher ou les vélos rouillés des enfants ayant quittés le cocon familial et qui passaient leur temps dans leur cabane étant petits. Mais tout ceci est terminé ! Ôtez-vous cette idée vieillotte de la tête car une nouvelle tendance est définitivement là : le bureau au fond du jardin.
Normal, me direz-vous. Avec le développement des communications, du télé-travail, le coût des transports pour le porte-monnaie et pour la planète, cette tendance suit une autre tendance : le développement du travail à la maison. Mais même sans aller jusque là, le bureau a toujours été une pièce importante d’une maison ou d’un appartement. Souvent la pièce où se réfugie l’homme du foyer pour éviter les assiettes volantes lors de disputes animées, le bureau devient ensuite la chambre du premier né. Bref, c’est une pièce à part entière qui a le droit aussi à son attention.
Du coup, le bureau au fond du jardin, à l’écart de toute vaisselle volante et de tout cri de bébé, devient un havre de paix et se voit touché par la loi du design. Voici quelques échantillons glanés ça et là sur le net. Évidemment, là où la cabane restait relativement peu onéreuse, ces modèles design valent un peu plus cher. Mais bon, la tranquillité pour jouer aux jeux vidéos travailler ne le vaut-elle pas ?
Celui-là plaira au fan de design et de technologie puisqu'il est livré avec tout le matériel électronique nécessaire.
Vous avez certainement dû voir la petite bouille de l'ArchiPod quelque part. Un petit cocon en harmonie avec la nature. En plus, à l'intérieur c'est plus grand qu'il n'y parait.
Voilà un bel oeuf ! Bon pas sûr qu'il se fonde dans le décor de votre jardin, mais il a son petit effet futuriste et éco-blanc qui pourra plaire à pas mal.
L'OfficePOD, c'est le bureau de jardin efficace et beau. Il fait ce qu'on lui demande et même plus vu qu'il utilise un max de matériau recyclé et est très bien isolé pour limiter les consommations énergétiques.
Sympa le mini studio d'enregistrement de Hans Liberg, non ? Un max de rondins coupés autour d'une armature en acier. Une intégration parfaite au jardin.
C'est un peu le bureau de Dark Vador, OK. Mais il en faut pour tous les goûts, non ?
Et pourquoi pas en forme de dome ? C'est la spécialité de certains constructeurs. Bon par contre, le style fait un peu vieillot, je trouve. Enfin, vous savez ce qu'on dit sur l'égout et les couleuvres... Ca ne se discute pas !
Et le dernier, le bureau de jardin pour celles qui travaillent très dur !
Je vous traduis une belle et innocente petite histoire vraie, lue ici.
Il y a plusieurs années de cela, un garçon de dix ans entra dans un bar, se dirigea vers le comptoir et grimpa sur un tabouret. Il attrapa le regard de la serveuse et demanda « Combien pour un sundae ? ». « Cinq euros », répondit la serveuse.
Le garçon fouilla dans ses poches, en sortit une poignée de petite monnaie et commença à compter. La serveuse fronça les sourcils d’impatience. Elle avait quand même d’autres clients à servir.
Le garçon regarda la serveuse en plissant les yeux. Il demanda « Et une simple coupe de glace, c’est combien ? ». La serveuse leva les yeux au ciel en soupirant. Un peu irritée, elle dit « Trois euros ».
De nouveau, le garçon compta ses sous. Puis, il finit par dire « Je vais prendre une simple coupe de glace, s’il vous plait. » Et il posa une pièce de un euro et une pièce de deux euros. La serveuse prit les pièces, ramena la coupe de glace et s’en alla.
Environ dix minutes plus tard, elle revint et trouva la coupe vide. Le garçon était parti. Elle ramassa la coupe vide et fut très surprise.
Là, sur le comptoir, juste à côté de l’endroit mouillé où était posée la coupe, il y avait deux pièces de un euro. Le garçon avait assez pour prendre un sundae, mais il avait commandé la coupe de glace simple pour pouvoir laisser un pourboire.
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