L’agence Wasserman est l’auteur de cette campagne pour une association canadienne visant à sensibiliser les gens sur les accidents qui peuvent être évités et de rappeler que les blessures sérieuses n’arrivent pas qu’aux autres. L’opération est supportée par le blog preventable.ca
Étiquette : publicité
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Campagne Preventable.ca, « éviter l’évitable »
« Vous ne vous attendez pas à ce qu’un enfant traverse la rue. » « Vous ne vous attendez probablement pas à vous noyer aujourd’hui. » « Vous ne vous attendez pas à avoir besoin d’un casque aujourd’hui. » « Se faire écraser en traversant en dehors des passages pour piétons n’arrivent pas qu’aux autres. » -
Le coup de pub de Sliimy sur Twitter ! Merci Britney…
Sliimy (enfin surtout le service comm’ de son label) vient de répondre à ceux qui se demandent à quoi peut bien servir Twitter.
En effet, le petit chanteur français bien de chez nous au look et à la voix si particuliers vient de lancer un buzz planétaire via Twitter. Voici ce qu’a publié Britney Spears sur son Twitter perso ce matin :
Simple, efficace et tellement pas cher. Que se passe-t-il après ? La machine Twitter se met en marche. Le compte de Britney est suivi par pas moins de 2,526,824 personnes dans le monde, dont la majorité n’a encore jamais entendu parler (ou chanter) de Sliimy (vous non plus ?). Des millions d’américains s’empressent de cliquer sur le lien posté par Britney menant à une vidéo Youtube d’une reprise de Womanizer par Sliimy, le chanteur français. Bing! Tout le monde se demande qui il est, d’où il vient, s’il mange des grenouilles… Inévitablement, « Sliimy » devient un top trend, achevant ainsi le coup de pub monstre habilement mené par les maisons de disque de Sliimy et Britney. Un « top trend » est un thème, un mot « tendance » le plus utilisé par les utilisateurs de Twitter, ceci en temps réel ! Ces trends, du fait de leur parfait exposition, sont repris après par différents services partout sur le web. C’est un buzz planétaire !
Une façon moderne, intelligente et rapide de pénétrer le marché américain : on se sert d’une star bien implantée pour promouvoir un parfait inconnu. Sliimy parviendra-t-il à devenir une star aux Etats-Unis ? Le buzz actuel deviendra-t-il un phénomène adopté par nos amis d’outre-atlantique. C’est tout ce qu’on souhaite à notre compatriote stéphanois.
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Campagne The Wrong Man
Un billet rapide pour une campagne publicitaire sympathique. Cet affichage alternatif a été mis en place en Nouvelle Zélande début janvier 2008 pour promouvoir le film « The Wrong Man ». Jouant sur le titre signifiant en gros « La mauvaise personne », 3 stickers portant des noms d’acteurs différents ont été successivement collés.
« Starring John Travolta »« Starring Steven Seagal »« Starring Le duc d’Edinburg » -
Le retour de la lionne Timotei… et de son pote l’hérisson !
Souvenez-vous de ce billet dans lequel je relatais une mésaventure automobilo-capillo-publicitaire. Figurez-vous que la folle de la savane contre-attaque. Et ce coup-ci, elle n’est pas seule. Son pote le hérisson l’accompagne.
Cliquez pour agrandir l’hérisson TimoteiA chaque animal son domaine, pendant que la lionne re-parade sur les affiches, le hérisson se promène sur le web (et uniquement sur le web !), rugissant et « héris-sonnant » l’accroche : « Timotei dompte les crinières même les plus sauvages » de la ligne de produit Natural Style.
Les publicitaires surfent donc sur la vague retentissante qu’avait alors provoqué le premier visuel en optant ce coup-ci pour une approche marketing dédiée au web novatrice. En effet, j’ai été contacté directement par mail, suite à l’ancien article sus cité. Les marketters savent s’adapter aux nouveaux média et profiter de la gratuité des buzz internet via les blogs. Séduit par un mail personnalisé, le blogger, ne voulant pas passer à côté d’un scoop, devient un vecteur dynamique et efficace pour une campagne éclair. Bien vu amis de la comm’.
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La publicité dans les séries américaines
En France, lorsqu’on regarde des épisodes de nos séries préférées, nous ne sommes pas ennuyés par des coupures publicités. En effet, que ce soit via VOD (Vidéo à la demande) ou téléchargement pirate, un épisode est épuré, ne préservant, en fin d’élagage, que les images propres à la série.
Cependant, aux Etats-Unis, la publicité est omniprésente et suit une stratégie savamment étudiée pour empêcher le téléspectateur de zapper sur une autre chaîne. Ainsi, la majorité des publicités sont situées en plein milieu des épisodes. Vous allez me dire qu’il en va de même pour nous. Nous avons le droit à une page de publicité, salvatrice pour les petites vessies, au milieu de notre épisode. Outre atlantique, c’est minimum 3 pages de pubs qui jalonnent un épisode typique américain d’une heure. Les pubs sont tellement ancrées dans le système que les scénaristes les incluent dans les scripts à l’instar de la série 24 heures chrono et son « horloge TuT TuT » désormais culte. Dans Prison Break, on a toujours un mini cliffhanger annonçant la publicité à coup de musique tragique.
Mais parlons chiffres. Le schéma suivant a été réalisé en relevant les coupures de pubs dans les séries Prison Break (FOX), Desperate Housewives (ABC), Lost (ABC) et Heroes (NBC). J’ai pris les 5 derniers épisodes de chaque série et fait les moyennes.
Autopsie d’un épisode typique américain d’une heure : la place de la publicité
- Le « Previously…« , connu chez nous comme « Dans les épisodes précédents…« , permet de relater les faits cruciaux des épisodes passés pour comprendre l’épisode qui va suivre. Cette séquence dure en général moins d’une minute (en moyenne 45 secondes) et se retrouve essentiellement dans les séries ayant une trame s’étalant sur la totalité d’une saison.
- Première partie d’épisode.
- Le générique de la série. Je suis tombé sur ce magnifique article sur les génériques de séries qui met en exergue la tendance qu’ont les génériques à se raccourcir.
- Le reste est assez régulier : 8 à 10 minutes d’épisode suivi d’une page de publicité de 6 minutes, le tout en boucle.
Ce qui nous amène à ce petit constat : pour un épisode d’une heure, un téléspectateur américain regarde 42 minutes de vidéo pour 18 minutes de publicités soit près d’un tiers du temps total ! Même ratio pour un épisode de 30 minutes (22 minutes de vidéo).
Durée totale | Vidéo | Pub | Ratio 60 42 18 1/3 30 22 8 1/3 Temps en minutes Pays: USA A l’heure où notre président veut voir la publicité disparaître des chaînes du groupe France Télevision, malgré son côté capitaliste et intrusif, la publicité va prendre encore plus de place dans les médias en France car c’est en général ce qui permet de baisser le prix ou rendre gratuit un service. Je pense particulièrement au jour où l’on pourra enfin voir nos séries gratuitement via VOD grâce à 1 ou 2 pubs positionnées, permettant ainsi la totale démocratisation du système car sa totale gratuité, la logistique mise à part.
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Le Break Ultime de KitKat ou Kerviel dans l’espace
KitKat a lancé une campagne de pub (grâce à l’agence JWT Paris) la semaine dernière qui tombe à point nommé avec les récents déboires boursiers dont ont été victimes la Société Générale et ce bon Jérome Kerviel. La coïncidence est même troublante. Je vous laisse regarder donc la vidéo d’un trader un peu perdu dans sa boite de courtage et qui va avoir très vite besoin d’une pause…
Source : KitKat.fr
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Co-branding, Coca-Cola & Sports Illustrated
Un bel exemple de co-branding (co-marquage en français) entre Dasani, eau minérale du groupe Coca-Cola et Sports Illustrated, magazine « pin-up » américain édité par le Time. Cette technique marketing est de plus en plus utilisée pour venter les mérites de plusieurs marques en mettant les forces de chacunes d’entre elles au service d’une même campagne publicitaire. Grâce à Internet, et notamment le marketing viral, les marques comme Apple (avec Nike ou Levi’s), Google (avec Lexar ou Heineken) n’hésitent pas à s’allier avec des partenaires inattendus pour alourdir leur force de vente déjà conséquente et créer l’événement. En effet, qui n’a pas déjà vu une vidéo montrant l’alliance d’un Mentos et d’un Diet Coke et du coup acheté 10 paquets/bouteilles pour essayer chez lui dans son jardin ? Le marketing est un vrai endroit où l’imagination peut s’épanouir. Dommage qu’il y ait souvent un revers jaunâtre à la médaille…
Au passage, rien à voir mais je vous mets un lien vers mon piano préféré du moment.
Source: Marketing-alternatif.com
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Rira bien qui rira le dernier
Quand les marques automobiles surenchérissent via des affiches publicitaires, ça donne ça.
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