La saison 4 de Nip/Tuck s’achève sur FX qui lance sa nouvelle série chic et choc avec en tête d’affiche allêchante, la magnifique Courtney Cox (Monica dans la cultissime série Friends).
Dirt raconte les dessous d’Hollywood et de ses paillettes à travers les objectifs pillards et la plume acerbe des journalistes et autres paparazzi de la presse à scandale, appelée tabloïds outre-manche. Lucy (Courtney Cox) est la rédactrice en chef rédoutable et rédoutée du magazine à scandale Drrt (prononcé Dirt qui signifie ‘poubelle’, ou ‘potin trash’ dans le jargon des tabloïds). Elle est la terreur des soirées Hollywoodiennes et est toujours à la chasse aux dirts, qu’importe le moyen ou la morale. S’il n’y en a pas, elle les provoque. Manipulatrice, poigne de fer dans un gant de velours, sa position de femme forte lui joue quelques tours dans sa vie affective.
Le pilot a donc été diffusé en milieu de semaine. Dirt est dans la lignée de Nip/Tuck : trash et provocant, tout en restant classe. Cependant, je n’ai pas autant accroché que je l’espérais. Certes, Miss Cox est resplendissante et joue à merveille son rôle de bourreau des stars. Les seconds rôles sont incarnés aussi par des pointures (Laura Allen vue dans « the 4400 », Josh Stewart en star sur le déclin, Ian Hart en paparazzi malade). On cherche trop le côté voyeur du téléspectateur qui le met quelques fois mal à l’aise. Drogue, sexe, déboires de stars. Trop de choses qui ne me touchent pas du tout mais qui devraient intéresser pas mal de monde. Espérons pour la série que les Américains ne soient pas de mon avis.
Dirt est un Drama diffusé sur le chaîne américaine FX tous les mardis soirs depuis le 2 janvier 2007.Les sous-titres seront disponibles dans l’Archive des Sous-titres et réalisés par la Yellow Sub Team.
Si vous deviez vous mettre à une nouvelle série, quelle serait-elle ? Je réponds Dexter. C’est mon coup de foudre de ce début de saison 2006-2007. Tout me plait. En commençant pas le pitch :
Dexter Morgan est médecin légiste spécialisé dans le sang. C’est un expert dans ce domaine. D’ailleurs sa vie de serial killer qu’il mène en parallèle nous le prouve. Pourquoi fait-il ça ? Pour pallier une maladie qu’il a depuis tout petit : il ne ressent rien. Il n’éprouve aucun sentiment si ce n’est le besoin de tuer. Dès son plus jeune âge, son père adoptif lui a appris à contrôler cette pulsion et à feindre ses sentiments. Ainsi, il tue seulement les personnes qui le méritent. Mais un jour, un autre serial killer apparait et ses meurtres semblent être connectés à Dexter et son enfance.
Inspiré de la nouvelle « Ce cher Dexter » de Jeff Lindsay, cette série est une véritable réussite que la chaîne américaine Showtime nous sert chaque dimanche soir. L’acteur principal (Michael C. Hall) est tout simplement génial et que dire des seconds rôles comme la soeur qui cherche à prouver qu’elle n’est pas une ratée en trouvant le tueur au camion frigorifique, de Angel, le vrai flic de Miami ayant des problèmes conjuguaux, ou encore la commissaire qui n’est autre que l’infirmière d’Oz (Gage de qualité ?). Outre l’histoire prenante, la musique très salsa, la simple vie de Dexter est passionnante. Comment une personne ne ressentant rien évolue dans une ville comme Miami. Personnellement, ce que je préfère c’est la relation qu’il entretient avec sa petite amie, bientôt divorcée d’un mari en taule avec qui elle a eu 2 enfants adorables. Dexter est drôle, touchant, intelligent et on en redemande.
Une note toute particulière pour le générique (ci-dessous) qui est dérangeant de sensualité et tellement dans l’esprit de la série. Vraiment Dexter est un petit bijou comme la télévision nous en offre peu et je vous recommande chaudement… d’attendre sa diffusion en France. (Ou pas…)
Sauriez-vous placer chacun des états (outre l’Alaska et Hawaï) sur le territoire américain. Moi le premier coup, je n’ai su en placer qu’une dizaine. Ce soir je sais tous les placer grâce à cette animation-puzzle-flash ludique. A vous de jouer !
J’ai testé pour vous les pilots (Premier épisode d’une série chargé de présenter les différents ingrédients la composant) des nouvelles séries américaines pour la saison 2006-2007.
J’ai testé pour vous les pilots (Premier épisode d’une série chargé de présenter les différents ingrédients la composant) des nouvelles séries américaines pour la saison 2006-2007.
J’ai testé pour vous les pilots (Premier épisode d’une série chargé de présenter les différents ingrédients la composant) des nouvelles séries américaines pour la saison 2006-2007. Difficile de choisir parmi la jungle audio visuelle que nous propose chaque année les grandes chaînes américaines. Fox, ABC, HBO… quelles sont les nouveautés à ne pas rater, les séries à tester, les navets à oublier. J’essaye ici de vous donner mon avis personnel de sériphile averti. Il n’engage que moi mais peut vous permettre de vous faire votre propre idée.
Je reviens à l’instant du Petit Gymnase, sur les conseils d’Antoine. Pendant une bonne heure, que l’on ne voit pas passer, j’ai eu le plaisir de voir se défouler une jolie petite boule de nerf : Charlotte Odinot dans son spectacle intitulé « Incendie Personnel« .
Elle y incarne Charlotte Fermoire de Mont-Sac, fille d’une mère hautaine et petit-fille de grands-parents un peu autistes. On découvre son parcours d’ado élevée dans un couvent de bonnes soeurs afin de devenir la parfaite mère ou épouse, au choix. Mais à la sortie du couvent, c’est le vrai monde qu’elle découvre et là… c’est le drame. Une déferlante de personnages hilarants aux caractères exacerbés s’abat sur le public du Petit Gymnase. Du dragueur style routier-du-sud à la gamine de 15 ans écervelée gâtée en passant par sa propre famille qui vaut son pesant d’or, la pauvre Charlotte ne sait plus où donner de la tête, tête qu’elle a bien faite (tout comme le reste en passant).
Charlotte Odinot porte son spectacle à bout de bras. Son humour se base sur des mimiques hilarantes pour des personnages caricaturés à souhait. Quelques bons mots par ci par là, trop peu nombreux à mon goût et surtout du peps à revendre. Se déchaînant sur des intermèdes musicaux, la jeune artiste montre qu’elle n’a pas froid aux yeux et se donne à fond dans son spectacle. Marchant dans les pas de Florence Foresti, Charlotte Odinot a un bel avenir devant elle. Même si j’ai trouvé le spectacle pas assez « mûr », l’artiste est toutefois prometteuse et partage énormément avec son public. Donc en attendant son prochain spectacle, je suis son actualité (oui parce que la demoiselle est aussi auteur, et toc !) sur son blog.
Très chouette soirée donc. Merci à Antoine et à Charlotte bien évidemment !
How I Met Your Mother est mon coup de coeur parmi les séries américaines de la saison 2005-2006. Cette comédie diffusée depuis septembre 2005 par la chaîne CBS met en scène un groupe d’amis à la manière de Friends. Le pitch, simple. En, 2030, la voix off de Ted raconte à ses enfants comment il a rencontré sa femme. Nous voilà donc en 2005, à suivre ses pérégrinations, lui et ses amis : Barney, pince-sans-rire magistral, Robin, bombe sexuelle désespérément célibataire car imbue d’elle-même, et Marshall et Lily, couple établi depuis 9 ans qui n’arrive pas à rentrer dans le monde adulte.
Au-delà d’un humour de chaque instant rappelant fortement les meilleurs épisodes de Friends, ce qui qualifie pour moi le plus HIMYM, ce sont les perles que les scénaristes mettent dans le bouche de Barney. Il n’est pas un seul épisode sans sa réplique mythique. Du premier « Have you met Ted » au dernier « Steack sauce! » en date en passant par le fameux « Suit up ! », la série a trouvé son ton et, par la même occasion son public puisque CBS la renouvelle l’an prochain pour une seconde saison. En France, c’est Canal+ qui a obtenu les droits de diffusion avec ceux de la série Weeds, une très bonne comédie aussi.
Beaucoup voit en HIMYM le remplaçant de Friends. Je ne pense tout de même pas mais c’est de loin la meilleure comédie sortie depuis des années.
J’ai testé pour vous les pilots (Premier épisode d’une série chargé de présenter les différents ingrédients la composant) des nouvelles séries américaines pour la saison 2006-2007.
Je reviens à l’instant du 
