Isa, star du show-bizz à Paris, hyperactive invétérée, se retrouve à son grand malheur en panne de GPS en pleine campagne. Et bien sûr, son portable ne capte pas. Et bien sûr, le bus n’arrive pas non plus. Flanquée d’un compagnon rencontré sur le bord de la route, Eric, un paisible apiculteur local, Isa se voit contrainte de faire la pire chose au monde pour elle : attendre.
Bien entendu, j’ai déjà ma place réservée pour le première représentation à Paris le 17 Janvier. Des lectures sont organisées les 27 et 28 décembre 2007 à la salle Saint Paul Garcin à Lyon. Puis, une représentation en avant-première à Enghein les Bains le 15 Janvier 2008 pour enchaîner du 17/01/08 au 10/05/08 , du mardi au samedi à 21H et le dimanche à 16H au théatre de la Gaieté Montparnasse, sauf : 25,26,27 Janvier et 16,17,18,19,20,22 et 23 Avril 2008.
Et c’est qui ce Philippe Elno, là ? Il va m’énerver très vite, lui, à parler tous les soirs pendant 6 mois avec ma Flo… Peu importe. Je n’aurai d’yeux que pour ma dulcinée et il est certain que je ne me limiterai pas à une seule représentation.
Un streaker (ou Nu-vite) est un exhibitionniste apparaissant nu en public, généralement lors d’un événement sportif. On a pu en voir lors de nombreux matchs de football en Angleterre, la plupart faisant intervenir des hommes se faisant plaquer par une horde de gardes. Mais là, non seulement il s’agit d’une femme complètement nue, mais, en plus, elle marque un but énorme. Jugez plutôt !
Un bel exemple de co-branding (co-marquage en français) entre Dasani, eau minérale du groupe Coca-Cola et Sports Illustrated, magazine « pin-up » américain édité par le Time. Cette technique marketing est de plus en plus utilisée pour venter les mérites de plusieurs marques en mettant les forces de chacunes d’entre elles au service d’une même campagne publicitaire. Grâce à Internet, et notamment le marketing viral, les marques comme Apple (avec Nike ou Levi’s), Google (avec Lexar ou Heineken) n’hésitent pas à s’allier avec des partenaires inattendus pour alourdir leur force de vente déjà conséquente et créer l’événement. En effet, qui n’a pas déjà vu une vidéo montrant l’alliance d’un Mentos et d’un Diet Coke et du coup acheté 10 paquets/bouteilles pour essayer chez lui dans son jardin ? Le marketing est un vrai endroit où l’imagination peut s’épanouir. Dommage qu’il y ait souvent un revers jaunâtre à la médaille…
Le Texas Hold’em, qui se joue de 2 à 10 joueurs, est aujourd’hui la plus répandue des variations du Poker. Il tient son succès de ses règles simples à comprendre mais aussi des nombreuses possibilités qu’il offre notamment en terme de bluff et de combinaison.
Une main de Texas Hold’em se joue en 4 tours (Betting Rounds). Aprés la pose des blindes (Blinds Bets), chaque joueur reçoit 2 cartes fermées (Pocket Cards). Durant la main, 5 cartes sont retournées au centre que l’ensemble des joueurs se partagent (Community Boardcards). Après le quatrième et dernier betting round, on abat les cartes (Showdown). Le joueur ayant la meilleure main (Poker Hand) de 5 cartes parmi ses 2 cartes et les 5 cartes au centre gagne le pot.
Lisez la suite du billet pour pour plus de précisions.
Le journal l’Express a fait paraître ce matin le classement des patrons d’entreprises françaises les mieux payés. Depuis des années, Lindsay Owen-Jones, PDG de L’Oréal, était abonné à la première place. Mais cette année, il n’obtient que la seconde place. Mais qui est donc le sacré veinard qui se tape la part du chef ?
John Schwarz ! J’entends déjà beaucoup dire : « Euh mais c’est qui lui ? Il sort d’où ? » John Schwarz est tout simplement le PDG de Business Objects (BO), éditeur de logiciel français, leader mondial de la Business Intelligence (BI ou Informatique décisionnelle) et accessoirement… mon employeur. Autant vous dire que ça a jasé sec au bureau aujourd’hui lorsqu’on a appris que notre boss se faisait 26 382 683 € par année. Cela fait 72 000 € par jour soit 3 000 € de l’heure. Ca fait chère la pause pipi !
Voici le classement complet :
John Schwarz (Business Objects) 26 382 683 €
Lindsay Owen-Jones (L’Oréal) 24 976 447 €
Bernard Arnault (LVMH) 12 989 958 €
Antoine Zacharias (Vinci) 11 772 364 €
Bernard Charlés (Dassault Systèmes) 11 713 561 €
Henri de Castries (Axa) 10 130 165 €
Arnaud Lagardère (Lagardère SCA) 9 815 706 €
Jean-Bernard Lévy (Vivendi) 6 045 594 €
Jean-François Dehecq (Sanofi-Aventis) 5 867 796 €
René Zingraff (Michelin) 5 759 857 €
Revenu global (en euros, toutes rémunérations confondues) perçu, en 2005, par les patrons les mieux payés en France.
« Je me suis encore fait bannir de forom ! Mais comment ils font ? Ils ont des espions ou quoi ? » Non. C’est beaucoup plus simple et moins perfide mais il fallait y penser. Forom.com est le plus grand site de subbing pour Series US. Précurseur du genre, il a donné naissance à nombre de concurrents en réaction à une politique de conservation de leur sous-titre. Malgré l’ambiance morose régnant au sein de la communauté de subbing, voici un petit article qui va enlever une aiguille du pied de beaucoup de monde.
Je suis en train de lire un livre génial en ce moment. J’en parlerai plus amplement dans un article à paraître une fois ma lecture achevée. Cependant, je suis tombé sur deux orthographes sur lesquelles j’aurais buté lors d’une dictée.
Bayer aux corneilles : Signifiant « rêvasser, perdre son temps en regardant en l’air niaisement » (Robert), l’éthymologie vient du latin populaire batare pour « ouvrir la bouche ». Et oui on n’écrit pas bâiller, ni bailler qui eux ont deux définitions tout à fait différentes aussi.
Une vitre sans tain : Rien à voir avec une quelconque teinte comme j’ai pu le penser. Tain vient de l‘étain et sert à l’étamage des glaces (Larousse) comme dans les commissariats où le suspect croit toujours que c’est un mur alors que le vrai tueur le regarde se faire taper à coup de bottin.
Le 27 Juillet 2005, je publiais sur le KooNDeLLiTcH un article issu de mes recherches au sujet d’un site anodin : 20q.net. Pour rappel, il s’agit d’un site se proposant de deviner l’objet auquel vous pensez en 20 questions. La semaine dernière, Jean-Olivier Pain, journaliste spécialisé dans le multimédia et nouvelles technologies sur la radio Suisse Romande, me contacte par téléphone.
Il souhaite réaliser une de ses « capsules » matinales sur le site sus cité. Deux jours plus tard, je le rappelle pour la prise de son et l’interview à proprement dit. Entretien très cordial. Je balbutie quelque peu, cherche mes mots car n’étais pas du tout préparé. Aprés 8 minutes d’entretien, nous nous saluons et nous remercions mutuellement.
C’est donc hier qu’a été diffusée la capsule de « Pain-Pain » sur 20q.net, accessible via podcast et que je vous propose d’écouter via le petit lecteur suivant :
Une expérience sympathique. Mes balbutiements sont habilement coupés au montage. Tout est respecté et sans déformation. Merci M. Pain. Rendez-vous au détour d’un autre article.